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<html> <head> <style type='text/css'> html, body { font-family: 'Open Sans', Arial; font-size: 11pt; line-height: 16pt; } @page { size: auto; margin: 25mm 25mm 25mm 25mm; } span.tab { width: 2em; height: 10px; display: inline-block; } h1 { font-weight: 400; padding: 0px; margin: 0 0 30px 0; } h4 { font-weight: 400; font-style: italic; padding: 0 0 15px 0; margin: 0 0 30px 0; border-bottom: 1px solid black; } </style> </head> <meta http-equiv=\"Content-Type\" content=\"text/html; charset=utf-8\"> <body> <h1>Mondialisation des institutions internationales</h1> <h4>par clohanko | etudier.com</h4> 121 l’internationalisation<br /> Circulation des biens et services<br /> * Observations<br /> Evolution des flux commerciaux<br /> Evolution du taux d’ouverture<br /> <br /> * Détermination de l’internationalisation<br /> Les couts de transports<br /> Obstacles administratifs<br /> Vers un marché mondial<br /> <br /> On peut observer un rapport des Exportations mondiales avec les produits intérieur de la production.<br /> (X+M)/ PIB. Sur le LT, on obtient l’équilibre commerciale import=export<br /> 3 limites :<br /> * Le numérateur (les exportations) quantifie une production alors que le dénominateur (PIB) quantifie une valeur ajoutée. Ceci favorise les petits pays qui ré exportent.<br /> * Le numérateur se limite se limite au seul bien alors que le dénominateur intègre des services.<br /> * L’indicateur ne prend pas en considération l’évolution des prix relatif des biens échangeables et des biens échangeables. La tertiarisation des économies tire le ratio exportation / PIB vers le bas.<br /> Résumé des limites :<br /> * Comparaison d’une production a une valeur ajoutée.<br /> * Tertiarisation de l’économie qui tend a sous estimer l’ouverture.<br /> * Appréciation des politiques commerciales. S’il s’agit d’apprécier l’impact des politiques menées,<br /> Par ex : un niveau d’un coef d’ouverture, on peut interpréter qu’il s’agit d’un pays qui exporte et importe beaucoup, mais cela peut signifier des politiques interventionnistes qui consiste limiter les importations mais en même temps à encourager les exportations. Le ratio dépend d’une multitude de variables non politiques comme la taille, la configuration géographique ou encore les dotations enressources. Il s’agit d’un petit pays (moins de conso) => spécialisation dans certaines productions, ils vont produire pour le reste du monde. A l’inverse, l’économie des USA peut se permettre de vivre en autarcie. Donc le coef d’ouverture des USA sera inférieur à celui de la Belgique par exemple. <br /> <br /> Quelles sont les déterminants ? Facteurs explicatifs :<br /> Partir du développement du commerce international, BRAUDEL démontre comment le commerce international grâce a l’articulation des espaces nationaux marqué par des disparités importantes de prix. En clair, les commerçants de l’époque achetaient les biens la ou le prix était le plus bas pour le vendre là ou le prix était le plus élevé. But : tirer profit entre les différents espaces économiques. La logique de l’internationalisation s’applique sur le principe de la spécialisation internationale des économies nationales. Il existe une division internationale du travail dans laquelle chaque nation se spécialisera dans les produits ou elle possède un avantage comparatif. Ce sont les différences de productivité qui vont déterminer la spécialisation des nations. Cette spécialisation permet d’accroitre le bien être mondial. Pour que la logique de la spé fonctionne il faut 2 conditions : (1) il faut que la différence de prix soit supérieure aux couts des transports. (2) Il faut aucun obstacle administratif.<br /> <br /> Cout de transport : l’internationalisation suppose une baisse des couts de transports, a partir du moment où le cout de transport d’un bien devient inférieur au différenciel du prix entre 2 endroits, le bien en question devientéchangeable.<br /> Selon la théorie, de CHAUNU, 90% des biens étaient trouvables autour de 5km. 9% se trouvé a une journée de marche. 99% des besoins d’un paysan se trouvé à moins d’une journée de marche.la baisse des couts de transports a été un des facteurs important au développement du commerce. <br /> <br /> Couts de transports :<br /> * Baisse important de début du XIXème siècle jusqu'à la vieille de la première guerre mondiale.<br /> * Développement des chemins de fer<br /> * Développement du transport maritime (ouverture des canaux et introduction de la vapeur)<br /> * Stagnation depuis l’après guerre.<br /> Grace à l’amélioration des transports terrestres, les couts baisses. La véritable baisse est due aux machines à vapeur. Conséquences : beaucoup plus de marchandises peuvent être transporté. Le cout moyen (en moins d’un siècle) est divisé par 15. Par chemin de fer : divisé par 50. Maritime : les voiliers sont remplacés par bateaux à vapeur entre 1800 et 1900, cout divisé par 7. Globalement, le cout est divisé par 10. Puis développement du transport aérien après la 2nde guerre.<br /> Cout du transport : (M-X)/X<br /> L’étude des indices de prix de transport maritime n’a pas diminué en terme réel en revanche les couts de transports terrestres et aérien ont diminué. Malgré les progrès technique il n’a pas eu de baisse globalement massive des couts de transports à proportion de la valeur des biens échangés depuis la 2nde guerre mondiale. => Amélioration de la qualité de service de transport, les délais, la sécurité. Peut être lié à l’existence de pratique anti concurrentiel dansle secteur maritime.<br /> 2ème variable de l’évolution des échanges :<br /> Réduction des obstacles administratifs.<br /> Jusqu'à la veille de la 1ere guerre mondiale+ l’entre 2 guerres : protectionnisme. Depuis l’après guerre, diminution des droits de douane.<br /> L’augmentation des échanges peut s’expliquer par le cout de transport ou les frais douaniers.<br /> De 1840à 1913 : hausse des échanges, facteurs : baisse des couts de transports.<br /> De 1918 à 1945 : baisse des échanges, facteurs : renforcement de l’obstacle administratif.<br /> De 1945 à aujourd’hui : hausse des échanges, facteurs : affaiblissement de l’obstacle administratif.<br /> <br /> Bien que la config international soit la config la plus ancienne de la mondialisation, l’avènement d’un marché mondial intégré est loin d’être réalisé. L’intensification des échanges commerciaux devrait conduire à l’égalisation des prix pour un même bien. Par exemple, dans l’UE, (absence d’obstacle), on peut observer des écarts de prix pouvant aller jusqu’à 20% pour un même modèle. On peut observer aussi le prix de l’essence, cette différence vient des taxes. Cette disparité illustre bien le pouvoir discrétionnaire de l’état à taxer certain produit difficilement substituable ou fortement lié a l’espace national. Disparité due aux subventions (produits agricoles).<br /> <br /> 122 Multinationalisation<br /> <br /> * Observations<br /> Flux d’investissement directs étrangers<br /> Stocks d’investissement directs étrangers<br /> Quelque données sur la place des FMN<br /> * Stratégies des suivies<br /> Stratégie de marché (market seeting)<br /> Stratégie de minimisation des couts (outsourcing)<br /> Stratégieglobales<br /> Stratégie oligopole<br /> <br /> Vers une firme globale ?<br /> <br /> Observation :<br /> Les firmes multinationales sont les principaux acteurs de cette configuration. Selon les estimations, en 1913 le stock d’IDE était de 9% de la production mondiale. Niveau dépassé au milieu des années 90. Avant la 1ère guerre, 65 % des IDE flux principalement dans les PVD, et 35% les IDE dans les pays développés. Après la 1ere guerre, inversement de la tendance. 65% vers les pays développés et 35 % dans les PVD. Cela s’est intensifié depuis. Le rapport de force entre les investisseurs et l’Etat présente des ressemblances, durant la période d’avant la 1er guerre, les IDE était orienté vers les PVD colonisé ou non, de ce fait les firmes investissais avec un rapport de force favorable. Mais au lendemain de la 2nde guerre mondiale, les PVD ont mis en places des politiques protectionnismes qui ont renforcé la protection des états, depuis la fin des années 1970, (libéralisation des échanges commerciaux) le rapport de force s’est de nouveau modifié en faveur des firmes. Depuis le milieu 70, ce sont les firmes qui mettent en concurrence les territoires nationaux, avant c’était les états qui sélectionnaient les projets d’investissement proposés par les firmes. Pour accroitre l’attractivité du territoire, les états adoptent des mesures d’incitations (avantages fiscaux). Période 1991-2004, les modifications apportées aux régimes nationaux d’investissement sur les 2000 modifications, 93% sont favorables aux IDE.<br /> <br /> Le développent des IDE a une des conséquences sur les échanges de biens, puisque une proportionimportante de flux internationaux de biens et devenu interne aux entreprises multinationales. Le commerce international assuré par les grandes firmes multinationales représente à peu près à 2/3 du commerce mondial.<br /> <br /> Les stratégies des FMN(1) :<br /> <br /> Stratégies de marché : firme qui déplace leur production pour accéder a un marché, le déterminant majeur c’est la présence d’obstacle tarifaire ou non dresser par les états nation. Moyen pour passer au dessus des barrières protectionnistes. Réponse au caractère inachevé de la configuration internationale. Dans ce cas la production est réalisé par des filiales relais, cette production est destinée au marché local, on produit dans un pays pour écouler sur le marché du même pays.<br /> * Recherche de marché<br /> * Contournement des mesures protectionnistes<br /> * Filiales relais<br /> * Minimisation des couts<br /> Les firmes cherchent à améliorer leur compétitivité, en réduisant leur cout. Dans ce cas, l’essentiel de la production réalisé par des filiales « ateliers » est destiné à l’exportation.<br /> * De main d’œuvre, de MP.<br /> * Filiales ateliers<br /> * 3 conditions :<br /> * Il faut que les couts de transports soient relativement bas.<br /> * Spécialisation des filiales relais, s’il existe d’important économie d’échelle.<br /> * Faibles couts de mains d’œuvre (unitaire). L’existence de bas salaire ne constitue pas une incitation suffisante pour l’investisseur, si ce niveau est compensé par une faible productivité.<br /> Stratégies des FMN(2) :<br /> * Stratégie globales (combinaison des deux stratégies précédentes)<br /> * Stratégie oligopolistiques(partages du marché).<br /> Il s’agit du partage des marches entre un nombre illimité de producteur pour un produit donné, cette stratégie peut s’inscrire dans le cadre de plusieurs contextes : 3cas :<br /> * Suivre le leader, lorsque qu’une firme, leader sur son marché, va s’implanter dans un nouveau marché, les autres firmes concurrentes a l’échelle mondiale vont la suivre, pour l’empêcher de s’emparer seule d’un marché nationale et de profiter de l’avantage du premier arrivant pour installer ensuite des barrières a l’entrée sur le marché.<br /> * Absence de concurrence par les prix, sur le marché ou il n’y aurait que quelques firmes, les participants savent qu’une concurrence par les prix ce soldera par une baisse des profits pour tout le monde. La possibilité d’échapper à la concurrence par l’innovation est limité dans le temps, pour accroitre leur rente, l’implantation à l’étranger constitue une solution pour les firmes<br /> * Dissuasion de la firme concurrente. Dans ce cas, la stratégie est décrite comme un jeu de dissuasion. Pour dissuader une implantation nouvelle d’une firme étrangère concurrente sur son propre marché, la firme qui se sent menacé, va se défendre en portant la concurrence sur le marché domestique de la firme qui menace.<br /> <br /> Vers la firme globale (transnationale) ?<br /> Les multinationales sont en faites des firmes réseaux qui ont leur propre système de communication et de trésorerie mondiale, elles créent une division interne du travail et elles passent des accords à l’échelle mondiale. Leur stratégie demeure néanmoins conçue par la maison mère située dansla plupart du temps dans les pays développés et les productions sont dans les papys à bas couts de main d’œuvre.<br /> Le processus est loin d’être évident, depuis les années60’s, il est loin d’être achevé de telle sorte qu’on puisse qualifier de transnationalisation, les appartenances nationales demeurent essentielles, les ¾ de la VA des firmes (en 2000) est assuré dans les pays d’origine (pays de la maison mère) ces firmes ont des liens avec les pouvoirs politiques, il y a très peu de multinationales que l’on peut qualifier de globalisée.<br /> <br /> * Intégration globale (5eme d’OHMOAE), les firmes nationales devenus globale sont rares et concernant la fusion d’innovation et de technologie, le même savoir faire, on constate que non seulement les pays protègent de façon différentes la propriété intellectuelle mais aussi que les firmes continuent à considérer que l’innovation constitue la source de leur compétitivité. De ce fait, elle évite de disséminer leur innovation sur leur espace géographique qui serait hors du contrôle direct ou indirect de leur état nation d’origine. Ce qui explique le caractère fort national des brevets déposée par les grandes firmes.<br /> <br /> * Financement : les multinationales continuent à financer l’essentiel de leur investissement sur les marchés financiers locaux. <br /> <br /> * Pour ce qui est du recrutement du personnel, l’intégration de dirigeants étrangers dans la haute hiérarchie reste exceptionnelle. La majorité des CA ne se composent que de nationaux. Il ya de rare exception, seules les multinationales (Nestlé) ont pleinement mondialisé leur recrutement. Al’opposé des multi USA, françaises qui rencontrent des problèmes de gestion majeure…<br /> <br /> La firme globale relève encore plus du projet que de la pratique, les grandes firmes multinationales. Leur trajectoire restée marqué par leur histoire de leur constitution et de leurs évolutions dans un espace national particulier.<br /> 1.2.3 La globalisation financière<br /> <br /> Obéit a la logique de la rentabilité financière, CAD le rendement des capitaux investis, avec cette nouvelle configuration, les mouvements de capitaux devient autonome et échappe aux déterminations de l’économie réelle qui prédomine les configurations précédentes. La circulation des capitaux n’est plus déterminée par les besoins de financements engendrés par le commerce international, ou les mouvements d’investissement direct. Cette circulation est déterminé par des arbitrages sur les taux des marchées financiers, et marché de change. Une caractéristique de l’évolution de l’éco mondiale.<br /> <br /> Cette transformation se définie comme la création d’un marché unique au niveau planétaire. Auparavant les systèmes financiers des différents pays étaient relativement déconnectés, et intégration des marchées financiers internationaux pour constituer un marché unique a l’échelle planétaire qui est qualifié de globalisation financière.<br /> Observations :<br /> * Volume des transactions sur le marché des changes, en 2007, le volume a été multiplié par 10. Cette expansion n’est pas en rapport avec l’évolution du commerce. Selon la banque des règlements internationaux au début des années 2000, le montant des transactions financièresinternationales étaient 50 fois + importante que la valeur du commerce international des B/S. la part des opérations d’échanges lié aux besoins, aux flux commerciaux, correspondent a 5% des 3 trillions de $. Cette baisse s’explique par l’appariation de l’euro et la disparation de devises.<br /> * Le stock d’actifs financiers détenus à l’étranger : <br /> <br /> Sur le plan institutionnel, cette expansion est due à trois facteurs : les règles des trois 3D<br /> * Désintermédiation : le recours direct des opérateurs internationaux des marchés financiers sans passer par des intermédiaires financiers et bancaires pour effectuer leurs opérations de placements et d’emprunts. <br /> * Décloisonnement des marchés : l’abolition des frontières entre les marchés jusque la séparé, il s’agit de l’ouverture à l’extérieur des marchés nationaux, mais également a l’intérieur de ces marchés nationaux avec l’éclatement des compartiments existants. Entre marché monétaire, financier, d’échanges. Celui qui investit, recherche le meilleur rendement en passant d’un titre à un autre. Ces marchés sont devenus des sous ensemble de marché financiers lui-même devenu de marché mondial. <br /> <br /> * Déréglementation : élément moteur de la globalisation financière. Les autorités monétaires des principaux pays développé ont abolie les réglementations d’échanges de manière à faciliter la circulation internationale de capital.<br /> <br /> NTIC :<br /> Evolution concernant la baisse des couts liée aux progrès réalisés dans la télécommunication et informatique. En 1970 et 90 le cout d’utilisation a été divisé par 12.<br /> <br /> Une intégration achevée ?<br /> Lesanalyses ont progressé dans 2 directions<br /> * Si les capitaux sont parfaitement mobiles, on devrait assister aux relâchements des contraintes extérieurs. Si S-I=X-M+XR-MR=MK-XK+E&O+∆R (=variation des réserves). La mobilité accrue des capitaux se traduit par une augmentation de MK-XK (solde de capitaux) et entraine une hausse du X-M+XR-MR et du S-I. dans une économie fermée S=I. Pour observer la globalisation financière, plus le marché global est intégré, plus les prix se réduisent. Une intégration financière achevée devrait se traduire par l’égalisation du prix des actifs financiers dans le monde (même taux d’intérêt dans le monde). <br /> Indicateur du solde courants/PIB. Somme des surplus et des déficits rapportés au PIB mondial peuvent révéler la mobilité des capitaux.<br /> Lien entre l’épargne : mesure l’intégration financière en se référant au lien de corrélation entre épargne et investissement. Dans un monde ou il a parfaite mobilité des capitaux, il ne doit pas avoir de relation entre l’épargne national et l’investissent national, l’épargne de chaque pays répond a la demande mondial d’investissement, alors que l’investissement est financé par les capitaux du monde. <br /> Moyenne du taux d’investissement rapportée au PIB du pays i sur la période considérée.<br /> Moyenne du taux d’épargne rapportée au PIB du pays i sur la période considérée.<br /> <br /> 16 pays de l’ODCE sur la période 1960-1974<br /> Β=0.897 (coefficient de rétention de l’épargne domestique)<br /> R²=0.91<br /> Conclusion : forte corrélation entre l’épargne et l’investissement domestique, faible intégration financière. Résultat quis’explique par la contrainte budgétaire inter temporelle.<br /> Le paradoxe s’explique par la contrainte budgétaire inter temporelle CAD par la nécessité d’équilibré les comptes extérieurs sur le long terme dans la mesure où un pays ne peut pas rester dans un déficit permanent. En longue période, les moyennes des taux d’investissement et d’épargne sont proches l’une de l’autre.<br /> Vérification de l’état d’avancement de l’intégration de<br /> L’analyse des prix des articles financiers dans différents pays également l’égalisation de ces prix considéré comme l’achèvement de ce processus. Il s’agit d’études fondées sur la parité du taux d’intérêt et sur la théorie de la porte feuille. <br /> Re=(Ft/St)*(1+ie)<br /> Rd=(1+id)<br /> (Ft/St)(1+ie)- (1+id)=0<br /> Avec: Ft : taux de change à terme<br /> St : taux de change au comptant<br /> I d : intérêt domestique, i e : intérêt étranger<br /> R : rendements<br /> <br /> OBSFELD et TAYLOR utilisent les données mensuelles des taux de change à terme, au comptant, taux d’intérêt sur les places de Londres, New York, et Berlin. Et les différentiels d’intérêt à partir des années 1980 apparaissent encore plus réduits qu’avant la 1ere GM. Repli de la 1ere GM jusqu’au 70’s 80’s et réouverture a partir des années 90’s et comme la mondialisation commerciale, la globalisation financière n’est pas nouvelles, le graphique montre réouverture financière qui intervient est simplement plus tardivement que la réouverture commerciale (1950). Régime de Woods 1945-1971.<br /> <br /> 1.3 Justification de la mondialisation allocation optimale des ressources<br /> <br /> 131. gains liés à la libéralisation des échanges commerciaux<br /> - ventesdu surplus (Smith)<br /> - théorie des avantages comparatifs (RICARDO)<br /> - théorie des spécialisations selon des dotations factorielles. S’explique par les différences de dotations factorielles. <br /> <br /> 132 Gains liées à la mobilité des capitaux<br /> <br /> Ventes du surplus (Smith)<br /> * Débouchés supplémentaires qui permettent de s’approcher à une situation de plein emploi. <br /> * Spécialisation dans les productions ou la productivité du pays est la meilleure du monde. (avantages absolus). Les recettes des exportations vont servir à financer les biens dont le pays a besoin. Chaque bien sera produit à l’ endroit dans le pays ou son cout de production est le plus bas.<br /> * Réallocation des ressources selon les avantages comparatifs. Les gains découlant du commerce extérieur peuvent être liés à l’augmentation de l’emploi des ressources mais également les gains liés à la réallocation des ressources même si le pays est en situation de plain emploi. Les avantages comparatif : théorie selon laquelle chaque nation a intérêt à se spécialiser dans l’activité pour laquelle sa productivité comparative est la plus forte ou encore dans la production ou le cout comparatif est le plus faible. Pour Ricardo, même si un pays n’a aucun avantage absolu pour aucun lien par rapport aux autres pays, il aura un profit de l’échange international en se spécialisant dans les activités ou son infériorité est la plus réduite.<br /> * Accroissement de la production pour une même quantité de facteurs utilisés<br /> * Meilleure allocation des ressources.<br /> Hypothèses :<br /> * Mobilité sectorielle inter desfacteurs <br /> * Immobilité internationale des facteurs<br /> * Balance commerciale équilibré : pas de mouvement de capitaux<br /> * Concurrence pure et parfaite : marchés des biens et services soumis à la concurrence pure et parfaite, hypothèse nécessaire pour que la 1ere soit vérifiée, CAD, la mobilité sectorielle interne des facteurs de production.<br /> * Rendements d’échelle constants : il n’existe aucun des avantages à produire à grande séries plutôt qu’en petit séries.<br /> * Fixité des coefficients de production : pas de substitution entre facteur de production.<br /> Différence entre néo classiques et classique concerne la fonction de production retenue. Facteurs substituables chez les néo classiques et fixes chez Ricardo : possible sans perdre d’efficacité de réduire l’emploi du travail moyennement la mise d’une quantité accrue de capital. Selon les classiques, les technologies étant partout les mêmes, les avantages comparatifs trouvent leur origine dans la plus ou moins grande abondance des ressources productives que possède chaque nation.<br /> Spécialisation selon des dotations factorielles<br /> <br /> Hypothèse : facteurs de production substituables (à la différence de l’approche ricardienne qui raisonne à coefficients fixes).<br /> Chaque pays utilise intensivement son facteur abondant, ce qui fait :<br /> * Baisser le prix du facteur rare.<br /> * Augmenter le prix du facteur abondant. <br /> <br /> Autrement dit :<br /> Le commerce ex a pour effet d’accroire le prix du facteur abondant.<br /> Le commerce ex a pour effet de baisser le prix du facteur rare.<br /> <br /> Convergence des rémunérations à l’échelle mondiale.1.4 Contestations de la mondialisation<br /> <br /> 1.4.1 Ralentissement de la croissance et aggravation des inégalités<br /> On constate un ralentissement de la croissance sur la période de 1973 -2001. Première phase de mondialisation de 1850 à 1913, accélération du taux de croissance. Ensuite période de replis des économies, baisse du rythme de croissance. Ensuite, s’en suite une période de 1950-1973 de forte croissance. Puis une dernière vague de mondialisation (libéralisation des mouvements de capitaux, etc) de 1973 à 2001. Cela étant le ralentissement de la croissance est perçu par la population comme un résultat de la mondialisation. Les observations au niveau des inégalités sont confortées.<br /> Au niveau international, l’évolution des inégalités entre pays suggère que l’ouverture croissante des économies ne s’est pas traduite par une réduction des inégalités. Plusieurs études confirment l’absence de convergence des revenus. Quant aux inégalités internes selon la même étude, les inégalités internes ont nettement diminué sur la période de 1910-1950 mais elles auraient de nouveau progressé depuis les années 50’s. Cette tendance est confirme en 2001 par la banque mondiale, il a eu une sérieuse progression des inégalités inversant la tendance antérieur de 1950-1980. Les inégalités mondiales, inégalités entre les citoyens du monde, qui résultent des inégalités entre pays et inégalités internes, la tendance est prononcé de 1820 a 1992, les inégalités ont augmenté essentiellement sont l’effet des inégalités entre pays.<br /> Selon les auteurs, si la distribution des revenus dans le monde étaitaujourd’hui la même qu’en 1820, le nombre de « très pauvres » (moins de 1$/jour) serait divisé par 6, et le nombre de pauvres (moins de 2$/jour) serait divisé par 4. La mondialisation ne conduit pas a la convergence des économies ; même si il a des gains au niveau mondial, il n’y a pas que des gagnants.<br /> <br /> 2 types de clivage :<br /> <br /> 1.4.2 Clivage Nord-Sud (international) : les pays du sud avancent 2 types d’arguments qui tendent à prouver que la mondialisation favorise les intérêts des pays développés. Certains domaines sont exclus, alors que le commerce des produis industriels est largement libéraliser, celui des produits agricoles est souvent exclus de la libéralisation. Le lien positif entre commerce extérieur et croissance reste à démontrer parce que dans certains cas, une situation sous optimale à court terme peut s’avérer optimale a long terme dans le cadre du protectionnisme éducateur.<br /> * Dimension oubliée : migrations internationales :<br /> * Même schéma que les effets de la mobilité des capitaux : la libre circulation du travail pourrait être bénéfique comme la libre circulation des capitaux. Convergence des économies en liaison avec les mouvements migratoires, dimensions jouant un rôle important dans le 19ème siècle + 1ère moitié du 20éme siècle.<br /> * Population émigrée de l’Europe vers les Amériques entre 180-1914 : 60 millions d’européen de l’ouest ont émigré vers les Amériques et ceci correspond à 27% de la population américaine en 1914. L’immigration a permit d’accélérer le revenu par habitant dans les pays peu développé. L’afflue de migrant au 19esiècle aurait un accroissement de chômage dans le pays d’accueil. Résorption de l’excès de population en Europe.<br /> * Impact sur la rémunération du travail en 1910 : Du coté des pays émetteurs, la réduction la MO a engendré une augmentation des salaires réels. Les mouvements migrations ont contribué à rapprocher les niveaux de vie entre Europe et USA.<br /> <br /> * Salaires réels +7% en Suède, 28.2% en Italie, 31.9% en Irlande.<br /> * Aux USA, salaires réels auraient été supérieur de 11a 14% s’il n’y avait pas eu d’immigration depuis 1870.la libéralisation du marché du travail à la différence de ces biens et des capitaux se heurtent à la volonté à l’opinion publique. Les opinions publiques dans les pays développés sont majoritairement opposées aux politiques de libéralisation en générale.<br /> <br /> * Commerce extérieur et croissance. A partir des années 80, une partie des économistes ont commencé à défendre l’ouverture à l’extérieur. Ces économistes étaient influencés par les expériences comparées par les pays introvertis et extravertis. En 1970, on avait d’un coté les grands pays introvertis (Inde, chine) et les pays extravertis (Corée du Sud, Singapour). En longue période, on connait des expériences réussies dans des contextes de libre échange (Angleterre) mais également des expériences réussies dans des régimes protectionnistes (Japon). Le taux d’ouverture stimule la croissance. Une économie d’échelle a pour effet de favoriser les nations qui produisent des volumes importants de ce bien. Dans ce cas, l’entrée au niveau internationale de nouveauxproducteurs capables de produire a des couts moindres, cette entrée peut être impossible. Exemple : Si le pays A a développé en 1er cette production et B un nouvel entrant sur le marché, le pays A restera en position de monopole alors même que le pays B peut approvisionner le marché mondial a un prix plus faible. Si le marché du pays B est suffisamment grand pour dépasser les prix p*. si le marché domestique est protégé, cette demande domestique permet au pays B de dépasser le seuil P* et de produire au prix P3. (P3<P1). Autrement dit le commerce internationale peut être source de perte. La spécialisation de la division internationale du travail est sans effet sur la croissance ; on sait non seulement que tous les secteurs n’ont pas les mêmes fonctionnements économiques mais encore que la demande mondiale n’accroit pas au même rythme selon les secteurs. En général, s’il ne semble ne pas avoir un lien négatif, le lien positif n’est pas démontré.<br /> 1.4.3 Effets reditributifs internes :<br /> * Effets redistributifs de la mobilité des capitaux : évolution du PNB. Evolution pas neutre entre les facteurs de production. Il peut modifier la répartition du revenu du PNB dans les 2 pays.<br /> * Effets redistributifs du commerce extérieur : modèle de ROGOWSKI : spécialisé sur les dotations factorielles. Théorème Stolper Samuelson : toute diminution du prix relatif d’un bien fait baisser en valeur absolue la rémunération du facteur qui l’utilise de façon intensive et accroit en valeur absolue les autres facteurs. Autrement dit, ce théorème suggère que le groupe social propriétaire dufacteur abondant a intérêt que son pays pratique du libre échange. Et inversement. Le groupe social propriétaire d’un facteur rare a intérêt que son pays pratique le protectionnisme. La protection est expliquée par un comportement de protection des revenus.<br /> Modèle de base : 3 facteurs : travail, capital et terre.<br /> Modèle appliqué à la période contemporaine : 3hypothèses :<br /> - ceux qui gagne un changement vous soutenir leur politique correspondante. Et ceux qui perdent vont s’opposer.<br /> - l’intensité des pressons pour faire politiquement prévaloir la politique commerciale libérale ou s’opposer a cette politique et proportionnelle aux intérêts.<br /> - l’état n’a pas d’autonomie propre.<br /> <br /> | Ratio Terre/travail |<br /> | Elevé | Faible |<br /> Ratio Capital/ Travail | Elevé(économie avancée) | I. Abondante : terre, capitalRare : Travail | II. Abondant : capital, travailRare : terre |<br /> | Faible(économie en retard) | III. abondant : terreRare : Capital, travail | IV. Abondant : travailRare : Capital, terre |<br /> <br /> Configuration I et IV : conflits de classe : lorsque le capital et la terre sont simultanément abondant et rares. Les intérêts capitalistes et terriens sont identiques contres les travailleurs.<br /> Configuration II et III : conflits ville campagne : capital et travail sont simultanément abondant rare. Ex de la RU dans un contexte protectionnisme et d’expansion du commerce international (lié a la baisse du cout de transport). Une coalition se fait pour réclamer le libre échange. Finalement ce conflit se termine par la victoire de la coalition entre travailleurs etcapitalistes.<br /> Cas allemand a la fin du 19ème. Le contexte international et la libéralisation des échanges.<br /> Cas de la France : travail a toujours été un facteur rare alors que le capital et la terre plutôt abondante.<br /> Paradoxe s’explique par la différence régionale. Celui du sud s’inscrit dans le cadre de l’Europe continentale tandis que le système de grandes exploitations du nord correspond au schéma Anglos saxons.<br /> La capitale humain est devenu un facteur de production important et il va suggérer un modèle qui comportera 3 groupes : capitaliste, travailleurs qualifiés et travailleurs non qualifiés. Approche intéressante dans la mesure ou elle permet d’envisager des possibilités de positionnement des pays a l’égard de la mondialisation. Relation générale entre l’accroissement des inégalités et la mondialisation, cette approche prend en compte le caractère hétérogène entre les pays. Ca met en évidence les inégalités dans la répartition des revenus et des salaires peut aussi bien augmenter que diminuer a la suite d’une ouverture commerciale. Cela dépend des configurations.<br /> <br /> | Ratio Travail NQ/travail Q |<br /> | Elevé | Faible |<br /> Ratio Capital/ Travail Non Qualifié | Elevé(économie avancée) | I. Abondante : capital, travail NQRare : Travail Q | II. Abondant : capital, travail QRare : travail NQ |<br /> | Faible(économie en retard) | III. abondant : travail NQRare : Capital, travail Q | IV. Abondant : travail QRare : Capital, travail NQ |<br /> <br /> Les détenteurs de capital seront favorables à l’ouverture.<br /> 1ère configuration correspond aux nouveaux pays industrialisée. Correspond auxcapitalistes et aux travailleurs NQ. Réduction des inégalités dans la répartition du revenu. Notamment une réduction de la dispersion des salaires.<br /> 2nde configuration : travail Q : il peut se créer une coalition entre capitaliste et travailleurs qualifiés qui seront favorables a l’ouverture commerciale au détriment des travailleurs NQ.<br /> On peut distinguer 2 types de pays ou le facteur capital est abondant ou rare.<br /> 3éme configuration : pays développées : travail Q et abondantes. Augmentation de la rémunération des facteurs NQ et une baisse des salaires des travailleurs Q. ce qui réduit les disparités salariales. Coalition entre capitaliste et travailleurs qualifié en faveur du protectionnisme. ( les travailleurs veulent préserver leur revenu). Ouverture= réduction des inégalités.<br /> 4ème configuration : Europe centrale et orientale. Travail qualifié. La libéralisation devrait se traduire par une hausse de la rémunération du travail Q ce qui accroit les disparités salariales. Perdants de l’ouverture : travailleurs NQ. Coalition entre capitaliste et travailleurs NQ. Bien que le capital soit rare il est difficile de parler de groupe capitaliste en raison de la nature de la propriété avant l’effondrement du système socialiste. La rareté du capital a un sens au sens industriel.<br /> <br /> Dans les pays développés, les conflits entres groupes sociaux concernant l’ouverture commerciale, serait un facteur de division au sein de la classe des travailleurs, une classe qui ne partage plus les mêmes intérêts car elle serait divisé par l’asymétrie dans la propriété capital humain.<br /> <br /> Classement desindividus face a l’ouverture :<br /> * Les compétitifs<br /> * Les exposés<br /> * Les protégés<br /> La société américaine selon R.REICH :<br /> * ¼ manipulateurs de symboles, qui produisent des idée dont les débouchés sont immédiatement a l’échelle du monde et profite pleinement de la mondialisation qui leur offre de nouvelles poopurtunités d’échanges et de production.<br /> * ¼ enseignement, santé<br /> * ¼ services (restauration, coiffure, ..)<br /> * ¼ travailleurs routiniers<br /> Les différences d’observations illustrent bien que le clivage entre les gagnants et les perdants de la mondialisation transcende le clivage entre les nations et il est possible de trouver des gagnants et des perdants au sein d’une même nation. Et les expériences historiques avec le modèle Rogowski montre par ailleurs que les choix effectués en matière d’ouverture a l’extérieur dépendent des alliances entre les groupes a un moment donné de l’histoire.<br /> <br /> 1.4.4 Pertinence et limites de l’opposition Etat-Marché<br /> <br /> Visions du monde et ses conséquences institutionnelles (rappel) :<br /> | Conséquences institutionnelles au niveau |<br /> | National | International |<br /> Economies internationales : relations économiques entre les nations. | Etat nation | Institutions intergouvernementales assurant la coopération entre Etats nations |<br /> Economie mondiale : intégrations des économies nationales | Disparition de l’Etat nation. | * Institution supranationales (gouvernement mondial) * Pouvoir hétérogène * marché |<br /> <br /> Chapitre 2 : Les institutions internationales face à la mondialisation<br /> <br /> 21 principaux éléments del’architecture institutionnelle internationale<br /> 211 les instituions comme producteur de biens publics<br /> 212 les leçons de l’entre deux guerres : sur le plan des relations internationales, la période est caractérise par les tentatives au retour de l’étalon de l’or. Puis ensuite, l’abandon dans les années 30, on peut citer comme événement : conférence de Gênes, organisé par la société des nations (ancêtres de l’ONU) met en place : remplace par une convertibilité limitée, monnaie défini en or, certaine banque centrale qui n’avait pas de stock d’or, émettait leur monnaie en contre partie des monnaies. Avantage du système : stabilité des taux de change.<br /> Dans ce système, on dit que le change entre deux monnaies est au pair lorsqu’une certaine quantité de monnaie échangé sur le marché des changes contre une certaine unité d’une autre monnaie permet d’obtenir la même quantité d’or.<br /> Régime de change fixe et le régime permet également un ajustement automatique des balances des paiements.<br /> Avantage 2 : libérer le taux d’intérêt.<br /> <br /> Voir doc pdf<br /> <br /> Allemagne, Autriche, Hongrie ont mis en place le contrôle des changes. Autres mesures pour exporter le chômage c’est des mesure protectionnismes. On observe au début des années des mesures protectionnisme aux USA tel que l’Emergency Tariff act de 1921.<br /> L’effondrement du commerce international entre 1929 et 1932, le commerce international va chuter de 63%. Cette baisse est supérieure au recul de la production. La reprise de la production ne sera pas suivie par le commerce international. En 1938, dans les grands industrialisés, la production était d’environ15% supérieur a son niveau de 1929 tandis que le commerce extérieur était inférieur à 15%. Jeu non coopératif qui peut s’avéré pour les participants, car les exportations des uns sont les importations des autres, et les entrées de capitaux ont pour contre partie, des sorties ailleurs. Autrement dit si un pays réalise un excédent de 100, il faut que ces partenaires enregistrent un déficit de 100. Si les pays tentent d’enregistrer des excédents, ils rentrent en compétition. Par exemple, pour réaliser un excédent pour réduire ses importations avec des mesures protectionnismes, mais si il a dans ce pays du chômage, la production du secteur importateur va augmenter.<br /> <br /> Perte liées a une escalade protectionniste et/ou a des dévaluation compétitives (voir doc pdf)<br /> <br /> 213 le compromis de Bretton-Woods et le partage des roles : reprend le cadre nationale a l’intérieur duquel s’exprime éco des état. Les états sont perçu comme de institutions nécessaires doté d’une mission économique légitimé par l’analyse économique, notamment avec le développement des politiques d’inspirations keynésienne (politique de gestion de la demande qui correspond a la 3eme fonction de l’état) l’objectif prioritaire est le plein emploi. Sur le plan commercial, le libre échange était défendu non pas en raison des gains de l’échange d’écoulant de la spécialisation, mais a cause des effets multiplicateurs induit par le commerce extérieur. Au même titre que les investissements, les exportations composantes de la demande effective stimulent une production supplémentaire, cette production supplémentaire engendreet expost un supplément de revenu lequel a son tour finance un supplément d’importation. La croissance des exportations n’ai pas percu dans le cadre d’un schéma mercantile, puisque cette croissance est neutralisé par un supplément d’importation apriori d’un montant équivalent. L’équilibre se réalise un niveau plus élevé d’échange par conséquent a un niveau de revenu plus élevé. Tous les pays sont donc susceptibles de bénéficier des effets favorables.<br /> <br /> Pour que les impulsions données par le gouvernement ne provoquent pas de déséquilibre lié au décalage conjoncturel, il fallait une coopération étroite aux niveaux des politiques économiques. CAD lorsqu’il y a relance et les partenaires en état partenaire, l’état qui se relance sera en déficit.<br /> <br /> L’objectif prioritaire stabilité d’échange, pour alléger la contrainte extérieur, les mouvements de capitaux étaient limités. La convertibilité était limitée aux mouvements commerciaux, impossible aux niveaux des capitaux.<br /> <br /> Triangle d’incompatibilité de Mundell : ces 3 conditions sont inapplicables simultanément. Seuls 2.<br /> <br /> Partage des rôles de Brettons Woods : (doc PDF) GATT charge de réaliser du libre échange, FMI a la stabilité du système monétaire international et la banque centrale est chargé du développement économique.<br /> <br /> 22 du GATT à l’OMC<br /> <br /> Des auteurs soulignent que l’observation de l’après guerre biaise les résultats dans la mesure ou la forte progression des échanges correspond en partie de la régression des échanges commerciaux. La forte croissance après la guerre s’explique par le rattrapage de régression. Il s’agitd’une moyenne, l’évolution peut cacher des tendances lourdes comme le déclin relatif des produits primaires au profit des produits manufacturés, ce qui se traduit par la marginalisation de certain pays en développement spécialisé dans les produits primaires. Si la libéralisation des échanges est incontestable, le processus est loin d’être achevé ce que certains secteurs comme l’agriculture, de nombreux services restent soumis a de fortes protection, et les barrières non tarifaires ne sont pas maitrisé. Le système multilatéral de l’OMC fait l’objet de critiques sévères, possibles d’envisager le multilatéralisme de 2 manières : soit comme une organisation qui vise a accélère le processus des échanges, favoriser la mondialisation. Ou soit comme instance de régularisation des échanges fondés sur la coopération et la réciprocité. Tout en visant a promouvoir le libre échange mutuellement bénéfique, cette objectif n’ai pas perçu comme une finalité en soi mais comme un instrument pour atteindre des objectifs supérieurs (comme le plein emploi). L’évolution témoigne du fait que c’est la première conception qui a gagné du terrain par rapport a la seconde. La 2nde conception n’est pas enterré définitivement puisque les règles de l’OMC sont soumises à l’approbation des états nation lesquels sont attentifs aux couts économiques et politiques de l’ouverture. On peut dire qu’il y a hiatus, l’organisation demeure calqué sur la seconde conception. L’OMC n’est pas faite pour générer la mondialisation, mais faite pour gérer le multilatéralisme avec les états nations. Le bilan dumultilatéralisme est positif meme si le lien entre l’ouverture a l’extérieur et la croissance continue d’être débattu, <br /> <br /> 3 niveaux :<br /> Unilatérale<br /> Régionale<br /> Locale<br /> (Manque cours )<br /> <br /> 3.3 Le FMI<br /> <br /> Le FMI, appelé parfois le «Fonds», a été créé en juillet 1944, lors d’une conférence des Nations Unies tenue à Bretton Woods dans le New Hampshire (États–Unis). Les quarante-cinq gouvernements représentés à la conférence voulaient établir un cadre de coopération économique conçu pour éviter que ne se reproduise le cercle vicieux des dévaluations compétitives qui avaient contribué à la Grande Dépression des années 1930.<br /> <br /> Missions et organisation :<br /> Avec la multiplication des crises financières depuis 1990, on a un paysage ambigu. 2 évolutions majeures qui ont transformé l’environnement international, (1) : l’abandon de la convertibilité or du Dollars en 1973 avec l’affaiblissement de l’hégémonie américaine, (2) mobilité croissante des capitaux. Conçue au départ pour stabiliser les taux de change, a du affronter le problème poser par la libéralisation financière. Face a cette évolution le FMI a été changé d’une mission de préteur sans en avoir les moyens<br /> Fonctions FMI :<br /> (1) Fonctions de surveillance des politiques de change<br /> (2) Aide financière aux pays en difficulté<br /> (3) Assistance technique<br /> Le champ d’action du FMI : l’objectif premier du FMI est de veiller à la stabilité du système monétaire international, en d’autres termes, le système international de paiements et de change qui permet aux pays (et à leurs citoyens) d’échanger des biens et des services. Ceci estessentiel pour promouvoir une croissance économique durable, accroître les niveaux de vie et faire reculer la pauvreté.<br /> ARTICLE :<br /> <br /> Objectifs : l’article premier des Statuts du FMI énonce les objectifs fondamentaux suivants:<br /> <br /> * promouvoir la coopération monétaire internationale;<br /> * faciliter l’expansion et la croissance équilibrées du commerce mondial;<br /> * promouvoir la stabilité des changes;<br /> * aider à établir un système multilatéral de paiements;<br /> * mettre ses ressources (moyennant des garanties adéquates) à la disposition des pays confrontés à des difficultés de balance des paiements.<br /> La surveillance des économies : afin de maintenir la stabilité et de prévenir les crises du système monétaire international, le FMI procède à des revues de l’évolution économique et financière à l’échelle nationale, régionale et mondiale, dans le cadre formel de sa mission de surveillance. Le FMI prodigue des conseils à ses 186 États membres, les encourage à prendre des mesures visant à assurer leur stabilité économique, à réduire leur vulnérabilité aux crises économiques et financières, et à accroître les niveaux de vie. Le FMI présente à intervalles réguliers, une évaluation des perspectives économiques dans les Perspectives de l’économie mondiale, un état des lieux des marchés financiers dans le Rapport sur la stabilité financière dans le monde et publie une série sur les perspectives économiques régionales.<br /> <br /> L’assistance financière : les financements du FMI donnent aux États membres l’appui qui leur est nécessaire pour remédier à leurs problèmes debalance des paiements. Un programme économique appuyé par le FMI est élaboré par les autorités nationales en étroite coopération avec les services du FMI, et les concours financiers restent subordonnés à la réalisation effective du programme. Pour épauler les pays face à la crise économique mondiale, le FMI a renforcé sa capacité de prêt et a décidé une refonte complète des modalités d’octroi de ses financements. Il fournit une assistance financière aux pays à faible revenu par ses guichets de financement concessionnel. Le FMI a doublé les limites d’accès à ses financements et accroît ses prêts aux pays les plus pauvres du monde, à des taux d’intérêt nuls jusqu’en 2011.<br /> <br /> Le DTS : le FMI émet un avoir de réserve international appelé Droit de tirage spécial qui peut compléter les réserves de change des pays membres. Les deux allocations de DTS effectuées en août et septembre 2009 ont décuplé l’encours des DTS, le portant à un total d’environ 316 milliards de dollars EU. Les pays membres peuvent aussi échanger entre eux, des DTS contre des devises.<br /> <br /> L’assistance technique : Ie FMI mène des actions d’assistance technique et de formation pour aider les pays membres à renforcer leur capacité d’élaboration et de mise en œuvre effective des politiques. L’assistance technique porte sur divers domaines, notamment la politique et l’administration fiscale, la gestion des dépenses, les politiques monétaire et de change, la supervision et la régulation du système bancaire et financier, les cadres législatifs et les statistiques.<br /> <br /> Les ressources : les dirigeants des pays réunisau Sommet du G-20 le 2 avril 2009, se sont engagés à épauler la croissance dans les pays émergents et en développement, en portant la capacité de prêts du FMI à 750 milliards de dollars EU. Les ressources du FMI proviennent des États membres, principalement du versement des quotes-parts qui reflètent en gros le poids économique relatif de chaque pays. Les dépenses annuelles de fonctionnement du FMI sont essentiellement couvertes par la différence entre les intérêts perçus (sur l’encours des crédits) et les intérêts versés (sur le montant de quotes-parts qui sert à financer les crédits accordés, appelé “position créditrice ou position de réserve” au FMI) mais les États membres viennent de convenir d’un nouveau schéma de recettes basé sur diverses sources de revenus plus adaptées aux différentes activités du FMI.<br /> <br /> Gouvernance et organisation : le FMI est comptable de son action devant les gouvernements des États membres. L’organe suprême de la structure de gouvernances est le Conseil des Gouverneurs qui se compose d’un Gouverneur par État membre. Les Gouverneurs se réunissent une fois par an, à l’occasion de l’Assemblée annuelle du FMI et de la Banque mondiale.<br /> <br /> Vingt-quatre Gouverneurs siègent au Comité monétaire et financier international (CMFI) qui se réunit deux fois par an. La gestion au quotidien du FMI est assurée par son Conseil d’administration composé de vingt-quatre administrateurs, dont le travail est orienté par le CMFI et appuyé par les cadres du FMI. Le Directeur général dirige les services du FMI et préside le Conseil d’administration, assisté de troisDirecteurs généraux adjoints.<br /> FIN <br /> Chaque pays membres se voit attribuer une quote part en fonction de poids économique, il règle ¼ de leur quote part en monnaie étrangère, et révisé tous les 5ans. DTS : unité monétaire composé de monnaie nationale, 45% le $, 25% l’€ ; 15% le yen, et 11% £. But : aider les pays membres et rétablir l’équilibre aux commerces extérieurs, il vise donc a fournir des liquidités aux autorités monétaires au pays membre en difficulté. Permet ensuite de d’enclencher les concours privés et de facilité le rééchelonnement de la dette.<br /> (Graph : Modalité de concours/ difficultés a résoudre)<br /> <br /> Condition de confirmation avec un pays :<br /> Prêt accordé à condition que le pays en question s’engage à suivre certaines politiques dictées par le FMI. Conditions : <br /> * réduire les dépenses publiques. Ou augmenter les recettes fiscales. <br /> * Libéralisation financière qui se traduit par une augmentation des taux d’intérêts réels qui encourage l’épargne domestique. Décourager les sorties de capitaux<br /> * Réduire les importations<br /> * Privatisation des sociétés publiques<br /> Cette multiplication des crises montrent qu’il ne s’agit pas de crises d’endettement. <br /> Logique pragmatique : éviter les dévaluations compétitives<br /> <br /> Graph paradoxe de TRIFFIN<br /> <br /> Comment corriger les volatiles entre le gain et le risque ?<br /> FMI doit stabiliser les taux de change avec le compromis de Bretton Woods, le FMI devait accomplir cette mission dans un contexte ou le dollar jouait une devise clé et ou la mobilité internationale des capitaux était réduite or, cetteenvironnement c’est profondément modifié, tout d’abord, la suppression de la convertibilité or du dollar, ensuite, la mobilité croissante des capitaux avec la libéralisation financière a rendu plus difficile le maintient de la stabilité d’échange. La libéralisation des capitaux en augmentant les flux a court terme ont rendu difficile le maintient de l’équilibre du taux de change. Crise d’endettement en raison des défcits commerciaux or a partir de 90’s on observe que les crises n’étaient pas exclusivement des crises d’endettement puisque dans certains cas, les difficultés persistés malgré le soutien du FMI. Les crises se déclenché par des sorties massives de capitaux a cour terme, exercer des pressions sur les taux de change, ce qui a ensuite provoqué l’effondrement des actifs, on sait que ce type d’événement rappelle un preteur en dernier ressort, CAD une institution qui accepte de donner aux systèmes financiers les liquidités qui leurs manquent.<br /> Lorsque la pénurie de liquidité concerne la monnaie nationale, la BC peut trouver des solutions, car elle crée de la monnaie, mais dans le cas ou les capitaux sont mobiles et la monnaie nationale convertibles, la BC ne peut pas assurer cette fonction, on peut imaginer que cette fonction peut être assuré par une institution qui dispose de gros pouvoirs monétaires, exemple : une banque centrale mondiale. Or on sait que le FMI n’a pas ce pouvoir, même si les FMI dispose de certaines ressources, et ne dispose des caractéristiques d’un préteur en dernier ressort car il n’a pas le pouvoir de créer de la monnaie comme une BC, on ne peutdemander au FMI de régler un problème sans lui donner les moyens.<br /> <br /> On peut dire que les observations que nous avons effectué jusque ici conduisent a penser intuitivement une certaine inadéquation entre l’architecture institutionnelle et les défis de la mondialisation, les crises du point de vue internationale ne sont pas surprenante.<br /> 1er chapitre : présence une mondialisation mais non achevé, si la globalisation tend a réduire le pouvoir des états nation, ceci demeure néanmoins le socle sur lequel s’appuie les institutions internationales. Quelle forme le système économique mondiale ? <br /> <br /> Plan du chapitre 3 (graph)<br /> <br /> Crises des institutions internationales :<br /> <br /> Crise de fonctionnement : (graph crises des institutions)<br /> Apparait a travers les exigences des gouvernements sur la transparence, les objectifs de la direction ou du personnel en général de ces institutions peuvent tendre à supplanter les objectifs qui lui ont été assigné par les états.<br /> Resquillage :Le nombre de pays adhérent augmentent peut être interpréter de 2 façons différents : l’augmentation a pour effet de généraliser des règles qui ont pour fonction de réduire le resquillage : principe de réciprocité de l’OMC qui contraint le pays adhérent a accepter des règles internationales en matière de propriété intellectuelle par exemple (interprétation positive). Selon l’augmentation des adhérent rend plus difficile le contrôle du respect des règles. Cette situation créé un billet en faveur des pays petits pays car cela ne se voit pas. Cela favorise les petits pays, même si les petits pays ne respectent pasrègles, l’accord reste bénéfique. <br /> <br /> Aléa moral : le FMI qui est le plus exposé à la critique de l’aléa moral, sachant que le FMI vient secourir les pays en crise, les gouvernements pouvant être incité a adopté des politiques expansionnistes. Les investisseur peuvent prendre des risques exagérés, des placements a rendement élevé puisqu’ils savant qu’en cas de crise, ils peuvent se dégager sans perte puisque l’intervention du FMI va soutenir le taux de change donc pas de perte.<br /> <br /> Crise de légitimé<br /> <br /> Mobilisation des opinions des pays développés, et les critiques sont souvent hétérogènes et inspiré des doctrines diverses<br /> <br /> Contestations altermondialistes :<br /> -souverainiste (nationaliste), dénonce les transferts de souveraineté qui échappe a la sanction démocratique, et la participation politique des habitations reste incomplète.<br /> -marxiste : dénoncer l’exploitation des PVD par les pays développés.<br /> -ONG : objection morale<br /> <br /> Contestations libérales : les libéraux vont critiquer les institutions internationaux, il leur reproche le principe même d’une intervention sur les marchés mondiaux, selon eux, les institutions seraient conçues par les états pour étendre et renforcer leur interventions. Or ceci prive le fonctionnement libre des marchés. Il est moralement inacceptable que le contribuable américain qui va payer au gouvernement, car lorsque les pays soutenu sont responsables de la crise avec des politiques monétaires inflationniste stimulant le surinvestissement. Grace au financement facile, les firmes de ce pays vont concurrencer les firmes américaines. </body> </html>