Bonsoir à tous, c'est Earl, alias Baskerville. Le texte, scénarisé de la même manière qu'une pièce de théâtre que vous vous appretez à visionner n'a pas été validé par la fondation SCP. Ce texte retransmet l'histoire qui s'est formée dans ma tête de sociopathe entre Freeman et Jenny (d'ou le titre, génie). Je vous prie donc de 3 choses : 1- Ne pas faire attention aux incohérances 2- Ne pas trop vous sentir gêné 3- Ne pas mettre [FR] dans votre pseudo, sérieux ça fait pédé. Sur ce, bonne lecture à tous, et n'oubliez pas que TOUT CECI EST SORTIT DE MA TETE, JENNY ET FREEMAN N'EN SONT PAS RESPONSABLE. Bisous. *Il était tard. La Fondation était presque vide de personnes encore debout, sauf quelque gars de la sécurité qui étaient à leur poste. Autant vous dire que le moindre bruit pouvait s'entendre à une centaine de mètre. Pendant un moment, Freeman se perdit dans ses pensées. Il regarda tout autour de lui, et cela lui fit penser à beaucoup de choses, comme ce qu'il ne savait pas encore de cette fondation, pourquoi y travaillait-il ou encore... Non, il devait arrêter de penser au travail ! Il n'était pas venu pour ça. Il se dit qu'elle était encore en retard, pour changer. Il regarda sa montre et vit : 23:34. Au final, c'était lui qui était venu en avance. Il serra sa tasse de café, elle était froide. Encore une fois, il se demanda si c'était réellement une bonne idée d'être venu ici, d'avoir... Des bruits de pas se faisaient entendre dans les couloirs de la EZ. Il se réjouit, puis sesouvint que ça pouvait être un Agent qui avait oublié ses clés... Il tendi l'oreille, et écouta... Aucun doute, ce bruit il le reconnaissait, c'était les talons de Jenny. Elle courrait. Elle était en retard de 8 minutes, un record. Elle arriva, s'assit en face de lui, dans la cafèt' EZ, puis s'en suivit un petit passage de malaise. Chacun attendait que l'autre commence la conversation. Au final, c'est Jenny qui commençat. Jenny- *Légèrement essouflée* Désolé pour le retard hein, j'avais un prob... Freeman- *L'interrompant* Ne t'inquiète pas, c'est pas grave. Jenny- *Souriante* Tu... Tu as prévu quelque chose de particuliers ou pas... ? Freeman- Je pensais que une fois sur place on trouverait des trucs à se dire. Jenny- Tu veux parler de quoi ? Freeman- Bah, à part la taff... Jenny *Un peu enervée* Tu n'penses qu'a ça ! Ce travail t'obsède, je commence à en avoir marre. Freeman- Je suis désolé, mais tu comprends, je suis presque tout le temps ici, j'ai dédié ma vie à la fondation... *A ce moment, Jenny se sentit gênée. Ce qu'il venait de dire lui rappelait à quel point le personnel de sécutiré était presque sur-exploité, et a quel point ils voyaient des choses horrible et fatiguante à longueur de journée... Ce n'était pas sa faute, c'était la faute de la fondation si il était comme ça, mais elle pouvait l'aider. Elle se leva, et alla s'asseoir à côté de lui. Lui aussi se sentait gêné, mais ce n'étais pas pour les mêmes raisons. C'était la présence de Jenny qui le gênait. Et ça, elle l'avait compris aussi. Après s'être assise à côté de lui, elle croisa les jambes et passa son bras autour de son cou, en mettant son autre main sur la table. Freeman posa sa main sur la sienne, et la serra. Jenny force un peu Freeman à s'alonger sur ses genoux. Au début il opposait une légère résistance, puis il se laissa faire. Il avait à présent la tête sur Jenny, et elle lui caressait les cheveux. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas eu une autre preuve d'affection que les tapes dans le dos du Commandant ou le garde à vous des Soldats. Il n'avait pas vu ses amis et sa famille depuis... Trop longtemps pour s'en rappeler. Il était donc heureux. Celui dura une bonne vingtaine de minutes, mais fut interromput par une proposition de Jenny. Jenny- *Toujours lui caressant les cheveux* On peut peut-être aller dans mon bureau, on sera mieux qu'ici. Freeman- *Hésitant* Je... Enfin, pourquoi pas... *Jenny se leva, et partit en direction de son bureau. Freeman la suivit. Son coeur commença à s'accélerer. Une fois dans son bureau, il se rendit compte qu'il n'y était allé qu'une seule fois dans sa vie. Elle ouvra le bureau, toujours fermé à clé, puis le referma une fois qu'ils furent rentrés. Jenny s'asseyat sur son fauteuil. Freeman, toujours autant mal à l'aise ne savait pas ou s'asseoir. Jenny le regarda un moment, puis étouffa un petit rire et l'invita à s'asseoir sur ses genoux.* Là, chères amis, c'est le moment ou ça va partir en couille. Et le moment ou je vais perdre tout mes amis qui liront cette merde. Bonne lecture. *Freeman s'assit sur elle. Elle mit ses deux bras autour de lui. La visage de Jenny arrivait à la hauteur du cou de Freeman. Elle commenca à coller ses lèvres au cou de Freeman, puis le mordilla doucement. Au début, il trouvait ça étrange et pas très éthique, mais après quelques minutes, il apprécia. Il balançat sa tête en arrière et Jenny le serra plus fort en continuant de lui mordre le cou. Au bout d'un moment, Jenny stoppa. Il se retourna donc, de sorte à être face à Jenny, avec les jambes écartés et sur elle. Elle le tenait toujours dans ses bras. Il mit ses mains sur la tête de Jenny pour relever ses cheveux et voir son visage. Il se dit un instant que c'était la plus belle chose qui lui était arrivé dans le monde. Il rapprocha lentement sa tête de son visage. Jenny ferma les yeux, puis il l'embrasse. Ceci dura entre trois et quatre minutes. Il se serrèrent ensuite très fort dans leurs bras. Il le savait maintenant. Il en était sur. Il l'aimait autant qu'elle l'aimait.* Concierge- *De l'autre côté du bureau de Jenny* Réveillez vous Monsieur Freemann, réveillez vous ! *Jenny était partit, il s'était endormis sur son fauteuil, c'était une nouvelle merveilleuse journée qui débutait.*